Séismes, magnétisme et marées

Séismes, magnétisme et marées La 3e édition de l’Atlas du Canada (1957) contient une planche comportant des cartes sur les séismes, le magnétisme et les marées au Canada. Les deux plus grandes cartes, en haut, représentent le géomagnétisme. Comme le pôle Nord magnétique ne coïncide pas avec le pôle Nord géographique et que les lignes des forces magnétiques terrestres sont déviées sous l’influence de divers agents, l’aiguille aimantée ne pointe pas vers le pôle Nord géographique dans la plupart des endroits. La déviation de l’aiguille aimantée du nord vrai s’appelle variation ou déclinaison magnétique. Ainsi, lorsque cette variation se fait vers l’ouest, par exemple, le Nord indiqué par l’aiguille aimantée se trouve à l’ouest du Nord géographique à autant de degrés que l’indiquent les isogones, tel que représenté sur la carte dans le coin supérieur gauche de cette planche. La carte en haut à droite montre en minutes les changements moyens annuels de la variation magnétique. Le petit carton intérieur en haut de la planche, intitulé « Probabilités séismiques » montre les ravages que peuvent causer les tremblements de terre à différents endroits du pays. On compte trois zones, de 0 à 3, le chiffre 0 signifiant que les séismes ne causeront vraisemblablement aucun dommage tandis que 3 indique que les tremblements de terre peuvent causer des dommages considérables. Les chiffres en petits caractères désignent l’intensité de quelques tremblements de terre enregistrés. L’indice de magnitude se rapporte à l’énergie engendrée plutôt qu’aux ravages causés. Une magnitude de 5,6 représente le seuil auquel les dommages commencent. Les quatre cartes dans la partie inférieure de cette planche indiquent les lignes cotidales et les lignes de co-amplitude qui représentent le mouvement des marées semi-diurnes et diurnes. La ligne cotidale marque la position du sommet de l’onde de marée à un moment précis. On a indiqué sur ces lignes l’heure des intervalles en temps lunaire à compter du moment où la lune croise le méridien de Greenwich. La ligne de co-amplitude indique la différence de niveau entre le sommet et le creux de l’ondulation. 2022-03-14 Ressources naturelles Canada geoinfo@nrcan.gc.ca FormatNature et environnementSciences et technologiecatastrophe naturelleeaux côtièresmaréetremblement de terretsunami Télécharger le fichier en format JPG Anglais via HTTPJPG https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas_3_ed/eng/environment/land/018.jpg Télécharger le fichier en format PDF Anglais via HTTPPDF https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas_3_ed/eng/environment/land/018.pdf Télécharger le fichier en format JPG français via HTTPJPG https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas_3_ed/fra/environment/land/018.jpg Télécharger le fichier en format PDF français via HTTPPDF https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas_3_ed/fra/environment/land/018.pdf

La 3e édition de l’Atlas du Canada (1957) contient une planche comportant des cartes sur les séismes, le magnétisme et les marées au Canada. Les deux plus grandes cartes, en haut, représentent le géomagnétisme. Comme le pôle Nord magnétique ne coïncide pas avec le pôle Nord géographique et que les lignes des forces magnétiques terrestres sont déviées sous l’influence de divers agents, l’aiguille aimantée ne pointe pas vers le pôle Nord géographique dans la plupart des endroits. La déviation de l’aiguille aimantée du nord vrai s’appelle variation ou déclinaison magnétique. Ainsi, lorsque cette variation se fait vers l’ouest, par exemple, le Nord indiqué par l’aiguille aimantée se trouve à l’ouest du Nord géographique à autant de degrés que l’indiquent les isogones, tel que représenté sur la carte dans le coin supérieur gauche de cette planche. La carte en haut à droite montre en minutes les changements moyens annuels de la variation magnétique. Le petit carton intérieur en haut de la planche, intitulé « Probabilités séismiques » montre les ravages que peuvent causer les tremblements de terre à différents endroits du pays. On compte trois zones, de 0 à 3, le chiffre 0 signifiant que les séismes ne causeront vraisemblablement aucun dommage tandis que 3 indique que les tremblements de terre peuvent causer des dommages considérables. Les chiffres en petits caractères désignent l’intensité de quelques tremblements de terre enregistrés. L’indice de magnitude se rapporte à l’énergie engendrée plutôt qu’aux ravages causés. Une magnitude de 5,6 représente le seuil auquel les dommages commencent. Les quatre cartes dans la partie inférieure de cette planche indiquent les lignes cotidales et les lignes de co-amplitude qui représentent le mouvement des marées semi-diurnes et diurnes. La ligne cotidale marque la position du sommet de l’onde de marée à un moment précis. On a indiqué sur ces lignes l’heure des intervalles en temps lunaire à compter du moment où la lune croise le méridien de Greenwich. La ligne de co-amplitude indique la différence de niveau entre le sommet et le creux de l’ondulation.

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