Chutes de neige annuelles

Chutes de neige annuelles La carte montre la quantité des chutes de neige annuelles (en centimètres) calculées sur une période de trente ans, de 1941 à 1970. On détermine la quantité de neige en insérant une règle en plusieurs endroits de la neige fraîchement tombée, pour en obtenir l’épaisseur et évaluer dans quelle mesure la neige a été chassée ou emportée. À la plupart des stations climatologiques, on estime l’équivalent en eau de la neige, en supposant simplement que la neige fraîchement tombée possède une densité de 0,10 gramme par centimètre cube. En moyenne, pour la plus grande partie du pays, cette approximation est acceptable, même si des variations de 0,05 à 0,15 d’une tempête à l’autre sont courantes. Dans les régions plus sèches, la densité moyenne est probablement de 0,08 gramme par centimètre cube. Depuis 1961, on utilise aux stations principales des nivomètres à écran de Nipher pour déterminer l’équivalent en eau de la neige captée qu’on a fait fondre. Aux stations éloignées on fait la mesure de l’équivalent en eau au moyen de pluviomètres automatiques et à réservoir, tels que les pluviomètres Fischer-Porter ainsi que Sacramento. Les stations synoptiques et climatologiques ont fourni les données illustrées, pour la période allant de 1941 à 1970. On peut s’interroger sur la représentativité régionale de plusieurs stations. Comme maintes stations principales sont situées au sein d’aéroports, il s’avère difficile d’effectuer des mesures représentatives à cause des vents violents et des interférences que peuvent produire les mesures de lutte contre la neige et le matériel de déneigement. En outre, l’emplacement des stations climatologiques est influencé par la disponibilité d’observateurs. 2022-02-22 Ressources naturelles Canada NRCan.geogratis-geogratis.RNCan@canada.ca FormatGouvernement et vie politiqueNature et environnementSciences et technologiebilan hydriqueclimathydrologieprécipitation Télécharger le fichier en format Anglais JPEG via HTTPJPG https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas/eng/hydro_1978/water_quantity_precipitation/09_Annual_Snowfall_1978_150.jpg Télécharger le fichier en format Anglais PDF via HTTPPDF https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas/eng/hydro_1978/water_quantity_precipitation/09_Annual_Snowfall_1978_150.pdf Télécharger le fichier en format français JPEG via HTTPJPG https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas/fra/hydro_1978/water_quantity_precipitation/09_Chutes_Neige_Annuelles_1978_150.jpg Télécharger le fichier en format français PDF via HTTPPDF https://ftp.geogratis.gc.ca/pub/nrcan_rncan/raster/atlas/fra/hydro_1978/water_quantity_precipitation/09_Chutes_Neige_Annuelles_1978_150.pdf

La carte montre la quantité des chutes de neige annuelles (en centimètres) calculées sur une période de trente ans, de 1941 à 1970. On détermine la quantité de neige en insérant une règle en plusieurs endroits de la neige fraîchement tombée, pour en obtenir l’épaisseur et évaluer dans quelle mesure la neige a été chassée ou emportée. À la plupart des stations climatologiques, on estime l’équivalent en eau de la neige, en supposant simplement que la neige fraîchement tombée possède une densité de 0,10 gramme par centimètre cube. En moyenne, pour la plus grande partie du pays, cette approximation est acceptable, même si des variations de 0,05 à 0,15 d’une tempête à l’autre sont courantes. Dans les régions plus sèches, la densité moyenne est probablement de 0,08 gramme par centimètre cube. Depuis 1961, on utilise aux stations principales des nivomètres à écran de Nipher pour déterminer l’équivalent en eau de la neige captée qu’on a fait fondre. Aux stations éloignées on fait la mesure de l’équivalent en eau au moyen de pluviomètres automatiques et à réservoir, tels que les pluviomètres Fischer-Porter ainsi que Sacramento. Les stations synoptiques et climatologiques ont fourni les données illustrées, pour la période allant de 1941 à 1970. On peut s’interroger sur la représentativité régionale de plusieurs stations. Comme maintes stations principales sont situées au sein d’aéroports, il s’avère difficile d’effectuer des mesures représentatives à cause des vents violents et des interférences que peuvent produire les mesures de lutte contre la neige et le matériel de déneigement. En outre, l’emplacement des stations climatologiques est influencé par la disponibilité d’observateurs.

Données et ressources

Dossiers similaires