Sites de l’écosystème, espèces chimiques de mercure, données préliminaires, région des sables bitumineux

Sites de l’écosystème, espèces chimiques de mercure, données préliminaires, région des sables bitumineux Des mesures du mercure élémentaire gazeux (MEG), du mercure oxydé gazeux (MOG) et du mercure particulaire lié à des PM2,5 sont actuellement recueillies par Environnement et Changement climatique Canada à une station de surveillance de la pollution atmosphérique (SSPA) de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA). Des données préliminaires basées sur les concentrations moyennes sur trois heures d’espèces chimiques de mercure provenant de la région des sables bitumineux sont disponibles pour la SSPA 13 de la WBEA – Fort McKay Sud, située près de Fort McKay, en Alberta. Concernant les mesures sur les espèces chimiques de mercure, il n’existe aucune recommandation sur la qualité de l’air formulée par Environnement et Changement climatique Canada et le CCME, ni d’objectifs de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. La surveillance respecte les procédures normalisées d’exploitation établies du Réseau canadien d’échantillonnage des précipitations et de l’air (RCEPA). Les données sont préliminaires et de qualité non spécifique. Elles peuvent faire l’objet de modifications importantes, comportent parfois des données de maintenance et ne devraient pas être utilisées dans des documents publiés. Veuillez n’utiliser ni diffuser ces fichiers sans les métadonnées associées. On recommande donc aux personnes souhaitant utiliser ces données de consulter d’abord le chercheur principal de manière à mieux comprendre les limites potentielles. 2022-02-23 Environnement et Changement climatique Canada open-ouvert@tbs-sct.gc.ca Nature et environnementAir ambiantmercure atmosphérique différencié par espècela composition des particulesmatière particulairela composition de matière particulaireRCEPAéchantillonnage actifsables bitumineuxmatière particulaire finematière particulaire grossièrematière particulaire de moins de 25 micronsmatière particulaire de moins de 10 micronsgaz à l'état de tracesmercure élémentaire gazeuxmercure particulaire bondmercure gazeux oxydéFort McKaySables bitumineuxQualité de l'air Publication scientifique - « A Survey of Mercury in Air and Precipitation across Canada: Patterns and Trends »HTML https://www.mdpi.com/2073-4433/5/3/635 Voir le Dépôt de données d'ECCC (Anglais)HTML http://data.ec.gc.ca/data/air/monitor/ambient-air-quality-oil-sands-region/ecosystem-sites-speciated-mercury-preliminary-data-oil-sands-region Voir le Dépôt de données d'ECCC (Français)HTML http://data.ec.gc.ca/data/air/monitor/ambient-air-quality-oil-sands-region/ecosystem-sites-speciated-mercury-preliminary-data-oil-sands-region?lang=fr

Des mesures du mercure élémentaire gazeux (MEG), du mercure oxydé gazeux (MOG) et du mercure particulaire lié à des PM2,5 sont actuellement recueillies par Environnement et Changement climatique Canada à une station de surveillance de la pollution atmosphérique (SSPA) de la Wood Buffalo Environmental Association (WBEA). Des données préliminaires basées sur les concentrations moyennes sur trois heures d’espèces chimiques de mercure provenant de la région des sables bitumineux sont disponibles pour la SSPA 13 de la WBEA – Fort McKay Sud, située près de Fort McKay, en Alberta.

Concernant les mesures sur les espèces chimiques de mercure, il n’existe aucune recommandation sur la qualité de l’air formulée par Environnement et Changement climatique Canada et le CCME, ni d’objectifs de qualité de l’air ambiant de l’Alberta. La surveillance respecte les procédures normalisées d’exploitation établies du Réseau canadien d’échantillonnage des précipitations et de l’air (RCEPA).

Les données sont préliminaires et de qualité non spécifique. Elles peuvent faire l’objet de modifications importantes, comportent parfois des données de maintenance et ne devraient pas être utilisées dans des documents publiés. Veuillez n’utiliser ni diffuser ces fichiers sans les métadonnées associées. On recommande donc aux personnes souhaitant utiliser ces données de consulter d’abord le chercheur principal de manière à mieux comprendre les limites potentielles.

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