Consultations ciblées pour divers groupes d'intérêt

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Katie Clancy
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Le gouvernement ouvert englobe les concepts d’inclusion, de transparence et de reddition de comptes. Je suis très heureuse qu’ils soient tous regroupés.  Cependant, certains groupes qui seront plus difficiles à mobiliser devraient toutefois faire partie de la conversation. Les consultations devraient donc être ciblées pour recueillir de la rétroaction.

                                                                                                                                    

Prenons l’exemple de la jeunesse : d’innombrables études démontrent que la « génération Y » est préoccupée et qu’elle est disposée à se mobiliser dans le cadre de dialogues ouverts. Elle pourrait par ailleurs représenter un facteur d’innovation sociale. Toutefois, ces jeunes ne votent pas. Mais d’où provient cet écart entre la mobilisation des citoyens et la mobilisation en ligne? Les jeunes ont‑ils des besoins ou des intérêts collectifs spécifiques qui doivent être analysés? Il semble que le gouvernement ouvert représente un moyen naturel pour canaliser la mobilisation accrue des jeunes dans les obligations de la collectivité.

À mon avis, les initiatives devraient être réduites afin de cibler des groupes qui se sentent actuellement coincés par des obstacles accrus au chapitre de la participation afin d’élargir le dialogue sur un gouvernement ouvert INCLUSIF. À l’heure actuelle, je constate que le dialogue se veut plus relevé et intéressé – ce qui est formidable – mais ça ne signifie pas qu’à l’avenir, nous pourrions éviter certains obstacles structurels importants à l’ouverture, ce qui pourrait aggraver l’iniquité de l’« ouverture ». Par exemple, abordons la question des groupes autochtones, des immigrants, des personnes vivant dans la pauvreté et qui n’ont pas nécessairement accès à l’infrastructure en ligne. Puis, regroupons leurs commentaires dans ce site de manière à alimenter le grand dialogue.

Comment procéder?

Jeunesse : Vous pourriez créer un site Web moins exhaustif mais plus attrayant, qui rehausserait l’intérêt des jeunes, et tenter de cibler des groupes précis (des étudiants du secondaire et des universitaires, peut‑être?). Il conviendrait peut‑être de poser des questions différentes – et non pas simplement leur demander à quoi devrait ressembler le gouvernement ouvert, mais ce à quoi devrait ressembler un gouvernement au sein duquel ils voudraient se mobiliser. Cette démarche pourrait quelque peu brouiller les lignes, mais le résultat final pourrait vraiment éclairer le débat sur l’ouverture.

Groupes autochtones canadiens : Consulter spécifiquement des dirigeants et des groupes. Ils sont puissants (voir : « Idle is no more »); et il convient d’être à l’écoute pour veiller à ce qu’ils aient la possibilité de participer au dialogue sur le gouvernement ouvert, sur leurs besoins et leurs aspirations, et traiter des obstacles à la participation.

D’autres groupes précis pourraient comprendre les immigrants et(ou) des groupes de la diaspora (Comme l’a déclaré le ministre Kenney – certains des plus grands utilisateurs des sites Web du Canada) et les aînés. Je crois que les consultations se poursuivent déjà avec les représentants de l’industrie et de la société civile.

Il s’agit d’une étape vraiment importante du maintien d’un esprit d’ouverture. Le concept d’ouverture est brillant car l’ouverture vise tous et chacun. Mais comme il est difficile d’être ouvert à tous, ciblons‑en les limitations et espérons que l’ouverture soit appliquée à tous les niveaux du plan d’action du Canada. Puis, établissons *ensemble* des solutions ouvertes brillantes (par l’entremise de l’externalisation ouverte ou d’initiatives stratégiques) afin de régler les problèmes.

Veuillez saisir des mots‑clés d’emploi courant, des phrases ou des termes officiels servant à exprimer votre idée.

Le gouvernement ouvert englobe les concepts d’inclusion, de transparence et de reddition de comptes. Je suis très heureuse qu’ils soient tous regroupés.  Cependant, certains groupes qui seront plus difficiles à mobiliser devraient toutefois faire partie de la conversation. Les consultations devraient donc être ciblées pour recueillir de la rétroaction.

                                                                                                                                    

Prenons l’exemple de la jeunesse : d’innombrables études démontrent que la « génération Y » est préoccupée et qu’elle est disposée à se mobiliser dans le cadre de dialogues ouverts. Elle pourrait par ailleurs représenter un facteur d’innovation sociale. Toutefois, ces jeunes ne votent pas. Mais d’où provient cet écart entre la mobilisation des citoyens et la mobilisation en ligne? Les jeunes ont‑ils des besoins ou des intérêts collectifs spécifiques qui doivent être analysés? Il semble que le gouvernement ouvert représente un moyen naturel pour canaliser la mobilisation accrue des jeunes dans les obligations de la collectivité.

À mon avis, les initiatives devraient être réduites afin de cibler des groupes qui se sentent actuellement coincés par des obstacles accrus au chapitre de la participation afin d’élargir le dialogue sur un gouvernement ouvert INCLUSIF. À l’heure actuelle, je constate que le dialogue se veut plus relevé et intéressé – ce qui est formidable – mais ça ne signifie pas qu’à l’avenir, nous pourrions éviter certains obstacles structurels importants à l’ouverture, ce qui pourrait aggraver l’iniquité de l’« ouverture ». Par exemple, abordons la question des groupes autochtones, des immigrants, des personnes vivant dans la pauvreté et qui n’ont pas nécessairement accès à l’infrastructure en ligne. Puis, regroupons leurs commentaires dans ce site de manière à alimenter le grand dialogue.

Comment procéder?

Jeunesse : Vous pourriez créer un site Web moins exhaustif mais plus attrayant, qui rehausserait l’intérêt des jeunes, et tenter de cibler des groupes précis (des étudiants du secondaire et des universitaires, peut‑être?). Il conviendrait peut‑être de poser des questions différentes – et non pas simplement leur demander à quoi devrait ressembler le gouvernement ouvert, mais ce à quoi devrait ressembler un gouvernement au sein duquel ils souhaitent se mobiliser. Cette démarche pourrait brouiller les cartes, toutefois le résultat final pourrait enrichir le débat sur l’ouverture.

Groupes autochtones canadiens : Consulter spécifiquement des dirigeants et des groupes. Ils sont puissants (voir : « Idle is no more »); et il convient d’être à l’écoute pour veiller à ce qu’ils aient la possibilité de participer au dialogue sur le gouvernement ouvert, sur leurs besoins et leurs aspirations, et traiter des obstacles à la participation.

D’autres groupes précis pourraient comprendre les immigrants et(ou) des groupes de la diaspora (Comme l’a déclaré le ministre Kenney – certains des plus grands utilisateurs des sites Web du Canada) et les aînés. Je crois que les consultations se poursuivent déjà avec les représentants de l’industrie et de la société civile.

Il s’agit d’une étape vraiment importante pour le maintien d’un esprit d’ouverture. Le concept d’ouverture est brillant car l’ouverture vise tous et chacun. Mais comme il est difficile d’être ouvert à tous, ciblons‑en les limitations et espérons que l’ouverture soit appliquée à tous les niveaux du plan d’action du Canada. Puis, établissons *ensemble* des solutions ouvertes (par l’entremise de l’externalisation ouverte ou d’initiatives stratégiques) afin de régler les problèmes.

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